Face à l’épuisement des réponses apportées par les logiques marchandes classiques et les limites croissantes des politiques publiques à répondre aux besoins sociaux, l’entreprise associative émerge comme une alternative puissante et crédible. Ce modèle socio-économique, issu de l’économie sociale et solidaire (ESS)[1], incarne une autre manière de faire entreprise : non plus tournée vers l’accumulation du capital, mais résolument centrée sur la transformation sociale et l’intérêt général.

En 2025, la rémunération des cadres continue de progresser, mais dans un contexte où les augmentations deviennent moins fréquentes. Le Baromètre 2025 de l’Apec met en lumière le rôle déterminant de la mobilité professionnelle dans l’évolution salariale, ainsi qu’une montée de la transparence salariale sous l’effet de la règlementation européenne. Mais le chiffre le plus impactant, c'est l'écart de 16% entre les femmes et les hommes.

Alors que le budget de la culture est annoncé en baisse de 5 % (235 millions de moins qu’en 2025), la fragilité des musées en matière de sûreté éclate au grand jour. Elle découle d’un déficit d’investissement technique mais aussi d’une destruction progressive du statut des surveillants.

Au printemps 2025, l'ADGCF a sondé ses adhérents sur le nouveau régime de responsabilité des décideurs publics (ordonnance du 23 mars 2022).

Je vous détaille le contenu de cette loi et ses implications sociales dans une vidéo dédiée de ma chaîne YouTube "Mon CSE et moi" intitulée "Salariés de plus de 45 ans, découvrez vos nouveaux droits !".

La CFE-CGC de Nokia prend acte de l’annonce de Nokia de près de 427 suppressions de postes sur 2 300 salariés, soit près de 18 % des effectifs en France : un plan social d’une ampleur inédite.

Notre fédération est  en première ligne contre la fermeture injustifiable de l’usine Orangina à La Courneuve

Pour le financement des soins, actes et prestations se réclamant de la psychanalyse : Retrait de l’amendement 159 du projet de budget de la Sécurité Sociale

À la rentrée 2025, sur 352 000 élèves concernés, 48 726 n’avaient aucun accompagnement en AESH. En 2024, ils étaient 36 186.

La Cour des comptes et l’Institut des politiques publiques (IPP) ont publié le mardi 18 novembre, un rapport très critique à l’encontre du pacte Dutreil.