Les négociations annuelles obligatoires s’inscrivent cette année encore dans un climat d’incertitudes fortes, tant au niveau national qu’à l’échelle internationale.
Les négociations annuelles obligatoires 2022 s’annoncent plus faciles que lors des années précédentes. Les entreprises n’auront pas le choix ; elles devront lâcher du lest. Les syndicats patronaux en ont bien conscience (...)
De façon totalement dérogatoire, l’information sur la situation
économique et financière de l’entreprise et celle sur les orientations
stratégiques se déroulent sur une journée commune en janvier/février.
Les représentants ont alors 4 mois pour rendre leur avis lors d’une
journée en mai/juin.
La négociation annuelle sur les salaires tourne au vinaigre au sein de la filiale française de la plus grosse compagnie pétrolière privée du monde * et ce, depuis que la direction a glissé le temps de travail comme critère indissociable de l'ensemble.