Un salarié avait eu connaissance de malversations commises par l’employeur. En raison de la gravité de ces faits, le salarié en avait informé le bureau de l’association pour laquelle il travaillait. En vain. Le salarié avait alors décidé de signaler ces malversations auprès de plusieurs de ses collègues. Mais pour l’employeur, il est allé trop loin (...)