En janvier 2013, pressés de conclure un accord pour « sécuriser l'emploi », les partenaires sociaux ont imaginé, un peu rapidement, un successeur au droit à la formation (DIF), le compte personnel de formation, une trouvaille peu sociale en forme de livret d'épargne de formation, peu utilisé (1 % de taux de réalisation) et guère utile même aux chômeurs.