Le projet baptisé Kaisen prévoyait la fermeture de 13 agences sur 19 en province et le passage des salariés en télétravail. Le 7 octobre, le TGI de Nanterre a suspendu Kaisen pour le motif que la direction n’entendait pas prévoir un avenant au contrat de travail des 166 salariés amenés à travailler, même partiellement, à leur domicile.
Alors que la direction de Canon France a décidé de bloquer les salaires, la CGT estime que ce sont les salariés qui restent qui payent les 40 millions d’euros du dernier PSE, ce qui représente 50 % de la masse salariale.
Le plan de restructuration annoncé en novembre dernier par Canon dans le cadre de l’intégration d’OCE va finalement se traduire par 453 postes supprimées au lieu de 354. « Plus que l’atonie du marché, c’est l’agressivité des concurrents qui pose un
problème à Canon. Ce constat soulève la question de l’efficacité de la politique commerciale
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