A la faveur de quelques mouvements de protestations dans des entreprises socialement bien dotées, les signaux - même faibles - d'un point de bascule sont là. Les négociations annuelles sur les salaires se tendent de partout en raison de la menace inflationniste (...)
Chaque cadre exclu de l’augmentation générale se trouve d’autant plus enfermé dans la concurrence et la lutte pour une augmentation ou une prime individuelle que ces dernières ne sont pas annuellement garanties (...)
Les négociations annuelles obligatoires 2022 s’annoncent plus faciles que lors des années précédentes. Les entreprises n’auront pas le choix ; elles devront lâcher du lest. Les syndicats patronaux en ont bien conscience (...)
Nous avons accepté de différer l’application de l’accord salarial initial qui prévoit 2,7 % d'augmentation à la condition qu'une prime exceptionnelle basée sur l'EBITDA compense les augmentations que les salariés auraient perçues entre janvier et juin 2020 (...)