Les assureurs privés s'impatientent et veulent passer de l'expérimental à la généralisation pour obtenir l'accès aux données de santé individuelles. De son côté, le Centre technique des institutions de prévoyance (CTIP), qui s'occupe des couvertures de santé collectives dans les entreprises, se montre prudent : l'accès aux données devraient certes permettre de limiter les hausses de tarifs des contrats mais « on est là pour assurer la protection santé globale des salariés ».