Organisations
Solidaires réclame l'égalité de traitement entre tous les salariés de GMF Assurances
L’Unsa n’ayant pas atteint les 10 % aux élections professionnelles de mars 2010, elle avait perdu sa représentativité. Depuis cette date, l’Unsa ne bénéficie donc plus que d’une section syndicale au sein de GMF Assurances.
Alors que ses principaux membres ne disposent plus d’heures de délégation, hormis le représentant de la section (4 heures mensuelles), plusieurs d’entre eux poursuivent des activités militantes au lieu d’effectuer le travail pour lequel ils sont censés être rémunérés.
En guise de dérobade, le DRH a répondu le 18 mai à Solidaires qu’il ne souhaitait pas prendre parti sur ce point, estimant qu’il s’agissait de querelles entre organisations syndicales. Une telle réponse est aussi une manière pour lui de ne pas prendre ses responsabilités.
Il ne s’agit nullement de querelles syndicales comme il le laisse entendre. La section syndicale Solidaires ne demande que l’égalité de traitement entre tous les salariés.
Il est en effet inadmissible que d’anciens permanents syndicaux de l’Unsa continuent à exercer des activités syndicales et soient ainsi dispensés de la moindre activité professionnelle alors qu’ils ne disposent plus d’aucun mandat et d’heures de délégation.
Le salarié lambda, qui doit rendre des comptes à sa hiérarchie, ne manquerait pas, lui, d’être rappelé à l’ordre, voire d’être sanctionné, au seul fait de s’absenter de son poste de travail sans justification. Un règlement intérieur existe dans l’entreprise, il doit donc s’appliquer à tous.
Alors que ses principaux membres ne disposent plus d’heures de délégation, hormis le représentant de la section (4 heures mensuelles), plusieurs d’entre eux poursuivent des activités militantes au lieu d’effectuer le travail pour lequel ils sont censés être rémunérés.
- Dans un courrier adressé au DRH le 10 mai 2011, la section syndicale Solidaires a dénoncé cette situation inacceptable, connue également de toutes les autres organisations syndicales. La section a rappelé au DRH que cela constituait un délit et que cette pratique illégale pouvait être sanctionnée pénalement.
En guise de dérobade, le DRH a répondu le 18 mai à Solidaires qu’il ne souhaitait pas prendre parti sur ce point, estimant qu’il s’agissait de querelles entre organisations syndicales. Une telle réponse est aussi une manière pour lui de ne pas prendre ses responsabilités.
Il ne s’agit nullement de querelles syndicales comme il le laisse entendre. La section syndicale Solidaires ne demande que l’égalité de traitement entre tous les salariés.
Il est en effet inadmissible que d’anciens permanents syndicaux de l’Unsa continuent à exercer des activités syndicales et soient ainsi dispensés de la moindre activité professionnelle alors qu’ils ne disposent plus d’aucun mandat et d’heures de délégation.
Le salarié lambda, qui doit rendre des comptes à sa hiérarchie, ne manquerait pas, lui, d’être rappelé à l’ordre, voire d’être sanctionné, au seul fait de s’absenter de son poste de travail sans justification. Un règlement intérieur existe dans l’entreprise, il doit donc s’appliquer à tous.
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