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23 / 07 / 2019 | 37 vues
Denis Stokkink / Abonné
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La relation UE–Chine : de la naïveté au réalisme

Entre le 22e sommet UE-Chine et le sommet 16+1, la deuxième semaine d’avril 2019 a été marquée par la relation UE-Chine. Dans cette note d’analyse, Pour La Solidarité s’interroge sur une Chine en pleine recherche d’influence, face à laquelle l’Europe s’est montrée extrêmement naïve. Alors que l’Europe est généralement ouverte à tous les investissements chinois, la Chine évalue chaque investissement étranger au cas par cas.
 

Pour La Solidarité s’attelle ici à dévoiler ce qui se cache réellement derrière une influence chinoise croissante dans les pays les moins riches de l’UE, notamment la Grèce.
 

Tandis que les pays européens profitent de toute opportunité de bénéfice et de développement rapide, la Chine joue un jeu à long terme. Il est crucial que l’Europe revoie son approche et adopte une vision commune. Depuis trop longtemps, l’Europe a permis à la Chine d’éviter la réciprocité.
 

Même si l’Union européenne est désormais plus réaliste, elle doit passer à la vitesse supérieure. Ceci est crucial car, en l’absence d’une stratégie unifiée, nous déplorons des pertes d’emplois, d’entreprises et d’influence stratégique pour les années à venir.
 

« Lorsque la Chine s’éveillera, le monde entier tremblera », cette citation souvent attribuée à Napoléon traduit une inquiétude sourde. Alors que la Chine s’est réveillée, déployant une stratégie d’expansion, l’Europe s’est montrée extrêmement naïve.

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