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Métallurgie : 50 000 emplois de moins entre 2005 et 2020
Les 14 et 21 septembre 2012 se sont tenues des réunions paritaires avec l’UIMM.
Le 14 septembre 2012, nous avons plus spécifiquement abordé la situation du secteur automobile avec des présentations différentes à la fois sur le plan économique et de l’emploi.
Il en ressort un contexte plus difficile pour la France, avec une confirmation de la baisse des ventes de véhicules et un marché français qui ne devrait pas redémarrer sur un cycle normal avant la fin 2015.
Sur l’emploi et malgré la présentation de trois scenarios différents, il en ressort une baisse continue des effectifs et ce, depuis 2005 jusqu’en 2020 à savoir, environ moins 50 000 emplois.
Le 21 septembre 2012, nous avons abordé deux thèmes :
Cette étude démontre que le secteur de la métallurgie devrait, malgré un contexte difficile, recruter entre 115 000 et 128 000 personnes par an entre 2012 et 2020, soit un total d’environ 900 000 recrutements.
Au-delà de cette bonne nouvelle, FO métaux redemande en urgence, comme cela avait déjà été fait lors de la réunion du 14 septembre 2012, une négociation nationale sur les secteurs en difficulté et plus particulièrement sur celui de la filière automobile, afin de réactiver des mesures d’urgence pour l’emploi, dont l’APLD.
La filière automobile ne peut se contenter de présentations et d’études avec des baisses d’effectifs.
Il faut que l’UIMM, comme les constructeurs automobiles s’engagent à fabriquer les voitures en France, ce qui permettrait d’inverser la spirale infernale des baisses d’emplois dans un secteur qui doit rester d’avenir pour la France.
Pour FO métaux, l’emploi en France dans l’ensemble des secteurs de la métallurgie doit rester une priorité afin de préserver les savoir-faire et les compétences
Le 14 septembre 2012, nous avons plus spécifiquement abordé la situation du secteur automobile avec des présentations différentes à la fois sur le plan économique et de l’emploi.
Il en ressort un contexte plus difficile pour la France, avec une confirmation de la baisse des ventes de véhicules et un marché français qui ne devrait pas redémarrer sur un cycle normal avant la fin 2015.
Sur l’emploi et malgré la présentation de trois scenarios différents, il en ressort une baisse continue des effectifs et ce, depuis 2005 jusqu’en 2020 à savoir, environ moins 50 000 emplois.
Le 21 septembre 2012, nous avons abordé deux thèmes :
- le premier, celui des barèmes des ingénieurs et cadres qui, en fonction de l’accord du 25 janvier 2012, prévoyait une clause de revoyure. En fonction du contexte et des éléments présentés il n’y a aura pas de rattrapage. La prochaine négociation sur ce thème aura lieu le 21 décembre 2012 ;
- le second thème portait sur un examen général de la situation de l’emploi dans la métallurgie avec une présentation de l’étude de l’observatoire paritaire dont nous avons pris acte.
Cette étude démontre que le secteur de la métallurgie devrait, malgré un contexte difficile, recruter entre 115 000 et 128 000 personnes par an entre 2012 et 2020, soit un total d’environ 900 000 recrutements.
Au-delà de cette bonne nouvelle, FO métaux redemande en urgence, comme cela avait déjà été fait lors de la réunion du 14 septembre 2012, une négociation nationale sur les secteurs en difficulté et plus particulièrement sur celui de la filière automobile, afin de réactiver des mesures d’urgence pour l’emploi, dont l’APLD.
La filière automobile ne peut se contenter de présentations et d’études avec des baisses d’effectifs.
Il faut que l’UIMM, comme les constructeurs automobiles s’engagent à fabriquer les voitures en France, ce qui permettrait d’inverser la spirale infernale des baisses d’emplois dans un secteur qui doit rester d’avenir pour la France.
Pour FO métaux, l’emploi en France dans l’ensemble des secteurs de la métallurgie doit rester une priorité afin de préserver les savoir-faire et les compétences
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