Organisations
Un travail décent, une vie décente pour les femmes
Les 19 et 20 octobre, la Confédération syndicale internationale (CSI,170 millions de travailleurs/euses au sein de 316 organisations affiliées nationales dans 158 pays et territoires) a organisé la première Conférence mondiale des femmes de la CSI, intitulée « Un travail décent, une vie décente pour les femmes : les syndicats se placent à l’avant-garde pour la justice économique et sociale et l’égalité ».
Les séances se sont clôturées par une série de recommandations destinées à placer l’égalité entre hommes et femmes à un plus haut niveau de l’agenda international.
Les discussions durant la Conférence ont porté sur le fait que, bien que les femmes fassent de plus en plus partie de la main-d’oeuvre rémunérée et des syndicats, et que d’importantes avancées aient été enregistrées en matière de syndicalisation, de négociation collective et de droits, les femmes se trouvent souvent défavorisées par rapport aux hommes sur les marchés du travail de l’ensemble de la planète. Dans la plupart des régions, on s’attend à ce que l’impact de la crise économique selon le sexe en termes de taux de chômage soit plus préjudiciable aux femmes qu’aux hommes, comme le souligne le rapport de l’OIT, « Tendances mondiales de l’emploi des femmes 2009 ».
La Conférence a mis en exergue les questions prioritaires pour les femmes au travail, ainsi que dans la société et la politique, la hausse du nombre de femmes dans le travail précaire au cours des dernières années, contraignant de nombreuses femmes à occuper des emplois à court terme et à bas salaire, avec une protection minime, voire inexistante, contre l’exploitation, et sans le moindre droit à la sécurité sociale ou à une pension.
Les résultats de la Conférence ont mis en évidence l’importance vitale des mesures d’action positives et des procédures de contrôle rigoureuses pour instaurer l’égalité en matière de genre.
Les séances se sont clôturées par une série de recommandations destinées à placer l’égalité entre hommes et femmes à un plus haut niveau de l’agenda international.
Les discussions durant la Conférence ont porté sur le fait que, bien que les femmes fassent de plus en plus partie de la main-d’oeuvre rémunérée et des syndicats, et que d’importantes avancées aient été enregistrées en matière de syndicalisation, de négociation collective et de droits, les femmes se trouvent souvent défavorisées par rapport aux hommes sur les marchés du travail de l’ensemble de la planète. Dans la plupart des régions, on s’attend à ce que l’impact de la crise économique selon le sexe en termes de taux de chômage soit plus préjudiciable aux femmes qu’aux hommes, comme le souligne le rapport de l’OIT, « Tendances mondiales de l’emploi des femmes 2009 ».
La Conférence a mis en exergue les questions prioritaires pour les femmes au travail, ainsi que dans la société et la politique, la hausse du nombre de femmes dans le travail précaire au cours des dernières années, contraignant de nombreuses femmes à occuper des emplois à court terme et à bas salaire, avec une protection minime, voire inexistante, contre l’exploitation, et sans le moindre droit à la sécurité sociale ou à une pension.
Les résultats de la Conférence ont mis en évidence l’importance vitale des mesures d’action positives et des procédures de contrôle rigoureuses pour instaurer l’égalité en matière de genre.
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