Secafi (groupe Alpha) conseille les élus des comités d’entreprises et des CHSCT sur les restructurations, des mutations et des plans de départs volontaires. Le cabinet identifie trois risques pour ceux qui restent alors que des plans de départs volontaires massifs sont lancés.

• La dévitalisation, c’est-à-dire le danger pour l’entreprise et ceux qui restent de voir partir les meilleurs éléments et les piliers.
• Le déséquilibre, soit le fait que les départs ne sont pas également répartis par services et qu’on assiste à des phénomènes de hordes : des équipes entières tirent leur révérence tandis que d’autres restent au complet.
• La démotivation, car il n’est pas facile de remobiliser ceux qui restent sur un projet collectif d’entreprise quand on a basculé, avec la notion de volontariat, dans l’individualisme à outrance, une ambiance de mercenaires, pendant la mise en œuvre du plan.

• Retrouvez l'interview complète de Martin Richer, le directeur général, de Secafi qui estime que « les risques sont souvent sous-estimés pour les partants comme pour les autres » - Sur abonnement ou paiment à l'acte.