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La norme mondiale du bien-être existe mais...
Scoop. La norme sur le bien-être existe. Pour la déployer en entreprise, il faudra cependant repasser car cette norme est destinée au bien-être des poulets de chair. Regardons de plus près cette initiative louable mais intrigante, qui nous ferait presque regretter de ne pas chanter au lever du jour. Le bien-être animal a été défini pour la première fois comme un domaine d'action prioritaire dans le cadre du plan stratégique de l'OIE (Organisation Mondiale de la Santé Animale) couvrant la période 2001-2005. Les pays et territoires membres ont donné mandat à l'OIE pour élaborer des recommandations et des lignes directrices sur les pratiques applicables en ce domaine, en réaffirmant que la santé animale est une composante clef du bien-être animal.
L’OIE précise : « On entend par bien-être la manière dont un animal évolue dans les conditions qui l’entourent. Le bien-être d’un animal (évalué selon des bases scientifiques) est considéré comme satisfaisant si les critères suivants sont réunis : bon état de santé, confort suffisant, bon état nutritionnel, sécurité, possibilité d’expression du comportement naturel, absence de souffrances telles que douleur, peur ou détresse. Le bien-être animal requiert les éléments suivants : prévention et traitement des maladies, protection appropriée, soins, alimentation adaptée, manipulations réalisées sans cruauté... »
Nous apprenons également que « l'OIE a réuni une première conférence mondiale sur le bien-être animal en février 2004 » et que « depuis mai 2005, l’assemblée mondiale des délégués de l'OIE, qui représente les 177 pays et territoires membres, a adopté sept normes relatives au bien-être animal ». Ces normes concernent :
Ces normes sont régulièrement mises à jour afin de prendre en compte les dernières découvertes scientifiques.
L'Union européenne n'est pas en reste. Elle prévoit des mesures générales qui visent à assurer la protection et le bien-être des animaux. « Ces mesures porteront sur l'amélioration des normes, le développement de la recherche et d'indicateurs, l'information des professionnels et des consommateurs ainsi que l'action au niveau international ».
Amis gaulois, proposons donc la conférence mondiale sur le bien-être au travail des humains. Proposons également des normes « régulièrement mises à jour afin de prendre en compte les dernières découvertes scientifiques » concernant :
Peut-être pourrons-nous alors aller au travail en sifflant ?
L’OIE précise : « On entend par bien-être la manière dont un animal évolue dans les conditions qui l’entourent. Le bien-être d’un animal (évalué selon des bases scientifiques) est considéré comme satisfaisant si les critères suivants sont réunis : bon état de santé, confort suffisant, bon état nutritionnel, sécurité, possibilité d’expression du comportement naturel, absence de souffrances telles que douleur, peur ou détresse. Le bien-être animal requiert les éléments suivants : prévention et traitement des maladies, protection appropriée, soins, alimentation adaptée, manipulations réalisées sans cruauté... »
Nous apprenons également que « l'OIE a réuni une première conférence mondiale sur le bien-être animal en février 2004 » et que « depuis mai 2005, l’assemblée mondiale des délégués de l'OIE, qui représente les 177 pays et territoires membres, a adopté sept normes relatives au bien-être animal ». Ces normes concernent :
- le transport des animaux par voie terrestre ,
- le transport des animaux par voie maritime ,
- le transport aérien des animaux ,
- l'abattage des animaux destinés à la consommation humaine ,
- la mise à mort d'animaux à des fins de contrôle sanitaire ,
- le contrôle des populations de chiens errants ,
- l'utilisation d'animaux pour la recherche et l'enseignement ,
- le bien-être des poissons d'élevage pendant le transport ,
- les aspects du bien-être animal liés à l'étourdissement et à la mise à mort des poissons d'élevage destinés à la consommation humaine.
Ces normes sont régulièrement mises à jour afin de prendre en compte les dernières découvertes scientifiques.
L'Union européenne n'est pas en reste. Elle prévoit des mesures générales qui visent à assurer la protection et le bien-être des animaux. « Ces mesures porteront sur l'amélioration des normes, le développement de la recherche et d'indicateurs, l'information des professionnels et des consommateurs ainsi que l'action au niveau international ».
Amis gaulois, proposons donc la conférence mondiale sur le bien-être au travail des humains. Proposons également des normes « régulièrement mises à jour afin de prendre en compte les dernières découvertes scientifiques » concernant :
- la formation (initiale et continue) des managers à la prévention des risques sociaux,
- l'intégration de la performance sociale dans les objectifs des managers ,
- la formation des dirigeants et des contrôleurs de gestion à la mesure des coûts cachés ,
- le renforcement des moyens mis à disposition de la médecine du travail ,
- l'application du principe de précaution concernant des techniques de management non validées.
Peut-être pourrons-nous alors aller au travail en sifflant ?
- Santé au travail parrainé par Groupe Technologia
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Même pas la peine!
Mon cher Guillaume vous allez trop loin en proposant des actions spécifiques pour les humains et une nouvelle conférence, vous allez vous épuisez à essayer de convaincre le MEDEF ou autre instance aveugle et sourde.
Non demandons simplement que l'on applique les mêmes règles aux humains qu'aux bêtes, pas plus pas moins, ce sera déjà un énorme progrès.
Une seule norme de bien être pour les 2 espèces cela suffit pour commencer
qu'en pensez vous?