Organisations
La FNAC hors des clous sur le forfait jours de ses cadres périphériques
La CFE-CGC de la FNAC demande rien de moins que le retour aux 35 heures pour les cadres de FNAC Périphérie, la nouvelle entité regroupant les magasins implantés en périphérie des grandes villes. Le syndicat explique en effet que ces cadres en forfait jours travaillent « sans accord collectif préalable » pour notamment cadrer la charge de travail. L’occasion de demander « la compensation financière du préjudice ».
Cette incapacité à évaluer la charge de travail des cadres se retrouve au niveau des directeurs des 50 magasins de FNAC relais, implantés au cœur des villes de province. Le jugement de la Cour d’Appel de Paris du 13 décembre 2012, qui suspend le PSE de FNAC relais, souligne en effet que « l’évaluation des charges de travail ne précise pas les temps de travail de référence, en particulier pour les cadres au forfait jours ».
Gare aux employeurs qui n’évaluent pas la charge de travail des bénéficiaires d’une convention de forfait, comme le leur ordonne la loi de 2008, car la menace de contentieux gronde. Temps de travail : les cadres ne badinent plus avec les heures sup' > Notre dossier, sur abonnement.
Cette incapacité à évaluer la charge de travail des cadres se retrouve au niveau des directeurs des 50 magasins de FNAC relais, implantés au cœur des villes de province. Le jugement de la Cour d’Appel de Paris du 13 décembre 2012, qui suspend le PSE de FNAC relais, souligne en effet que « l’évaluation des charges de travail ne précise pas les temps de travail de référence, en particulier pour les cadres au forfait jours ».
Gare aux employeurs qui n’évaluent pas la charge de travail des bénéficiaires d’une convention de forfait, comme le leur ordonne la loi de 2008, car la menace de contentieux gronde. Temps de travail : les cadres ne badinent plus avec les heures sup' > Notre dossier, sur abonnement.
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