Organisations
Tout va bien chez Meilleurtaux. Sauf pour les salariés...
Interpelée par la CGT BPCE sur la situation de l'emploi dans le groupe et en particulier celle de Meilleurtau , la réponse de la DRH Mme Mercier Gallay risque de mettre le feu au poudre.
Pour Meilleurtaux, le contexte est différent puisqu’il change de modèle (franchise). En effet, la DRH estime, selon les retours des salariés, « une gestion positive du corps social ».
Déclaration en total décalage par rapport à la réalité, puisque le dernier sondage réalisé par le comité d'entreprise fait apparaître l'inverse sans aucune ambiguïté.
Interrogés, les salariés estiment être ni entendus, ni écoutés et considèrent les dernières communications visant à les rassurer comme anxiogènes.
Pourtant déjà mi-novembre, le secrétaire du comité d’entreprise a demandé à être reçu par la DRH du groupe, avec pour seule réponse un simple courriel daté du 7 décembre dernier dont voici un extrait :
En d’autres termes, notre rôle d’institution représentative du personnel serait réduit à donner rapidement des avis et à cautionner des plans de restructuration, pour être reçus in fine une fois les salariés licenciés. Une conception bien particulière du dialogue social !
Pour finir, la tentative de passage en force de la direction de l’entreprise, cautionnée par l’actionnaire BPCE (qui ne dit mot) a conduit le comité d'entreprise d'agir en justice pour entrave au CE, une date d’audience est fixée début janvier auprès du tribunal de grande instance de Nanterre.
Pour Meilleurtaux, le contexte est différent puisqu’il change de modèle (franchise). En effet, la DRH estime, selon les retours des salariés, « une gestion positive du corps social ».
Déclaration en total décalage par rapport à la réalité, puisque le dernier sondage réalisé par le comité d'entreprise fait apparaître l'inverse sans aucune ambiguïté.
Interrogés, les salariés estiment être ni entendus, ni écoutés et considèrent les dernières communications visant à les rassurer comme anxiogènes.
Pourtant déjà mi-novembre, le secrétaire du comité d’entreprise a demandé à être reçu par la DRH du groupe, avec pour seule réponse un simple courriel daté du 7 décembre dernier dont voici un extrait :
- « Aussi, si nous avons bien entendu votre demande de rendez-vous, nous vous proposons que celui-ci intervienne après l'issue du processus actuellement en déroulement devant les élus. Dans cette perspective, je reviens vers vous prochainement afin de vous proposer des dates possibles. »
En d’autres termes, notre rôle d’institution représentative du personnel serait réduit à donner rapidement des avis et à cautionner des plans de restructuration, pour être reçus in fine une fois les salariés licenciés. Une conception bien particulière du dialogue social !
Pour finir, la tentative de passage en force de la direction de l’entreprise, cautionnée par l’actionnaire BPCE (qui ne dit mot) a conduit le comité d'entreprise d'agir en justice pour entrave au CE, une date d’audience est fixée début janvier auprès du tribunal de grande instance de Nanterre.
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