Alors que s’ouvre aujourd’hui le Mondial de l’Auto à Paris, cette grande fête ne doit pas nous faire oublier l’inquiétante réalité de notre filière automobile. La France n’est pas le seul pays concerné : dans toute l’Europe, les constructeurs, les équipementiers et les sous-traitants s'angoissent de l’arrivée d’une crise majeure.

La discussion qui s’est ouverte  à partir de  lundi 21 octobre en commission à l’Assemblée Nationale sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025, sera déterminante. Elle actera ou non la poursuite de la politique conduite depuis plusieurs années pour remettre la France dans le jeu de la performance économique, atteindre le plein emploi et contribuer à la cohésion de la société.

La reprise de Bergère de France sous forme de Société coopérative et participative (Scop) a été validée par le tribunal de commerce, offrant une nouvelle dynamique à cette véritable institution de la fabrication de laine en France.

Certes, il faut réduire le déficit budgétaire et réduire l’endettement public. Mais cela ne peut se faire au détriment des politiques tournées vers les populations fragilisées par un contexte économique difficile. En outre, ces mesures de court terme, purement et aveuglément comptables ne sauraient constituer le projet de société dont nous avons besoin.

Le projet de loi de finances pour 2025 prévoit une majoration de 20,6 % de l’impôt sur les bénéfices dû par les sociétés (IS) dont le chiffre d’affaires est supérieur à 1 Md€ (41,2 % pour celles dont le chiffre d’affaires dépasse 3 Md€).

Ombretta Signori, Directrice de la Recherche Macroéconomique et Stratégie chez OFI INVEST ASSET MANAGEMENT a bien voulu livrer ses réflexions sur le contexte général actuel et les évolutions qu'il peut sous-tendre....

L'Organisation internationale du Travail alerte sur l'écart croissant entre les revenus du travail et ceux du capital, ainsi que sur les défis auxquels sont confrontés les jeunes sur le marché du travail.

Ce 16 octobre, en comité européen d’Airbus Défence & Space (ADS) et CSE C, la première déclinaison du plan de transformation a été présentée avec l’annonce d’une réduction des effectifs de 2 500 personnes.

Alors que l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité́ sociale (PLFSS) pour 2025 va débuter à l’Assemblée nationale, les fédérations et organisations du grand âge – (Synerpa, Adédom, AD-PA, Cndepah, Collectif Domicile, Fehap, FESP, FNADEPA, Mutualité Française, Nexem, UNA, UNCCAS, UNIOPSS )– tiennent à exprimer leur forte inquiétude.