Activités sociales et culturelles


Si la loi contraint les employeurs à financer le budget de fonctionnement (AEP) du CSE à un niveau minimum de 0,2 % de la masse salariale, c’est avant tout l’usage qui détermine les moyens des activités sociales et culturelles. La loi ne fixe aucun plancher mais à partir du moment où une direction accorde un budget ASC (lui aussi lié à la masse salariale), ensuite, c'est uniquement si l'effectif baisse qu'un retour en arrière est possible. Bref, la négociation de ce budget, qui alimente la rémunération globale, n’est pas balisée. Les ASC sont le signe extérieur de reconnaissance des CSE pour beaucoup de salariés.  

  • Baisse des prestations sociales des « agents les plus aisés » de la ville de Paris : légal mais pas moral !

    Juridiquement inattaquable mais éthiquement contestable, le choix de la Ville de Paris de sabrer dans la subvention versée à l’association gérant les œuvres sociales des agents (AGOSPAP) en dit long sur le mépris affiché envers le personnel, notamment les cadres auxquels l’administration demande de plus en plus sans hésiter à s’attaquer aux droits acquis.

    Odile Richard mer 29/11/2017 - 17:10
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    14 / 11 / 2017

    Qu'attendent les comités d’entreprise pour se mettre à l’achat responsable ?

    Prestations réservées aux comités d'entreprise richement dotés, démarche peu lisible pour les salariés, indicateurs compliqués à formaliser... Les objections fournies par les membres de nombreux CE pour ne pas s'engager dans l’achat responsable sont-elles encore recevables en 2017 ? Si la loi de 2014 sur la transparence financière des CE a été une occasion manquée d’introduire des critères de RSE (responsabilité sociale et environnementales), Karim Bangoura, expert-comptable associé du cabinet Audisol, considère qu’une démarche « responsable » est en réalité accessible à tous les CE qui représentent un marché global de 15 milliards d’euros.
  • Bip Bip Infos : la compilation sociale de la semaine #150
    Atos : une rémunération variable calculée de façon « arbitraire, opaque et démotivante » - Un forum des tops managers à plus de 500 000 € chez Gemalto - Baisse potentielle de 4,2 millions d’euros de la dotation des CE chez IBM - 8 000 postiers supplémentaires pourront bénéficier des titres restaurants - Lufthansa France : quatre élus sans poste depuis trois ans mais toujours salariés - Ordonnances : une logique de centralisation des informations contraire au dialogue social - STMicroelectronics en difficulté pour recruter à Crolles - La CFDT d’AXA se fait l’écho des inquiétudes de la fonction RH - Le différentiel d’âge de la retraite justifie la différence du coût de la prévoyance à la DGAC
    Rodolphe Helderlé lun 06/11/2017 - 17:54
  • Bip Bip Infos : la compilation sociale de la semaine #147
    La fédération CGT des services publics ne reconnaît pas le dialogue social soutenu par la CGT de la ville de Suresnes - Pourquoi le SCP VTC a t-il quitté l’UNSA pour reprendre son indépendance ? - Trois nouvelles délégations syndicales inscrites dans le bilan de la FEC-FO - Explosion du télétravail dans les fonctions finances chez Orange - Prime aux métiers sensibles chez Citroën occasions - Mutations sous surveillance CFDT de Alten SA vers Alten Technologies - Management par les chiffres chez Groupama : toujours plus d'objectifs
    Rodolphe Helderlé lun 16/10/2017 - 19:54
  • Participatif
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    12 / 10 / 2017 | 110 vues

    Un échec à l’alliance syndicale pour la gestion des ASC du CE de Gustave Roussy

    En avril 2015, suite aux élections professionnelles, le paysage syndical à Gustave Roussy (premier centre de lutte contre le cancer) a été le suivant.

    Taux de représentativité : CGT 29,74 %, UNSA 28,82 %, FO 15,27 %, CFDT 10,18 %, CFE-CGC, 10,79 % et SUD 5,19 %.

    Répartition des 10 sièges titulaires au CE : 5 UNSA, 3 CGT, 1 FO et 1 CFE-CGC.

  • Bip Bip
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    18 / 09 / 2017

    Bip Bip Infos : la compilation sociale de la semaine n° 143

    C’est chez VYV que va apparaitre l’un des premiers CSE - Payer (plus) pour alerter (vraiment) : un enjeu du futur conseil social et économique ? - Cinq syndicats démissionnent de presque toutes les instances représentatives de l’ONF - Qui conseillera l'Atelier parisien d'urbanisme de la ville de Paris en matière sociale ? - Clermont-Ferrand : Michelin vise 970 pré-retraités pour boucler son plan de départs volontaires - Manpower : un accord permettait de transférer les reliquats du budget de fonctionnent vers les ASC - Le conseil d’État conclut au rejet de la requête de médecins du travail et de syndicats - Syndicalisme de services : 300 affaires par an pour le principal cabinet d’avocats partenaire d’Alliance Sociale - Gros cumul d'astreintes journalières suite à une condamnation d'Altran aux prud'hommes
  • Les ordonnances s’attaquent fortement aux moyens des élus du personnel avec une bombe à retardement en bonus

    La fusion des instances de représentation du personnel annoncée par le gouvernement donne naissance au comité social et économique (CSE), mutation qui s’accompagne de modifications portant sur une multitude d’articles du Code du travail. Seule une analyse méticuleuse, article par article, permet de prendre la mesure des évolutions programmées.

    SZLIFKE JEROME ven 15/09/2017 - 22:58