Passées les premières années de sidération dans laquelle l’humanité s’est trouvée suite à la libération des camps et la découverte de l’horreur du génocide nazi, une volonté impérieuse, tant légitime que salutaire, d’expliquer (si ce n’est de comprendre) les ressorts psychologiques ayant conduit des hommes à commettre un crime de cette envergure inédite, s’est fait jour au sein de la communauté de