En théorie, le CE de branche est la solution pour que les salariés des TPE et des PME puissent prétendre bénéficier d’activités sociales et culturelles grâce à une contribution patronale. Dans les faits, l’équilibre financier de ces « super CE » plus ou moins étroitement associés à des régimes de protection sociale se révèle très instable. Illustration dans les branches de l’énergie, de la réparation automobile, des architectes ou encore du spectacle.