La loi sur la santé au travail renforce la balkanisation des différentes institutions
Il est regrettable de ne pas mettre cette armée des services de santé au travail (plus de 15 000 personnes) au contact de toutes les entreprises et tous les salariés de France, en coordination ne serait-ce qu’avec l’INRS, les CARSAT, EUROGIP, l’OPPBTP, Santé Publique France et l’ANSES (...)