En 2012, 51 % des 2,5 millions d'illettrés identifiés en France métropolitaine travaillaient. En 2004, ils étaient 3,1 millions dont 57 % à occuper un emploi. L’illettrisme devient de moins en moins compatible avec une activité professionnelle, notamment du fait d’une dématérialisation croissante des échanges exigeant une maîtrise de l’écrit.
En 2012, date de la dernière mesure de l’INSEE, la France métropolitaine comptait 2,5 millions d’illettrés, soit 7 % de la population (contre 9 % en 2004) ne maîtrisant pas les fondamentaux de la lecture, de l’écriture et du calcul.