Organisations
Négociation terminée sur le contrat de sécurisation professionnelle
Un projet d’accord national interprofessionnel sur les licenciés économiques est soumis aux organisations syndicales. La confédération va étudier les effets de ce texte avant de se prononcer.
La négociation sur le contrat de sécurisation professionnelle (CSP) s’est achevée le 8 décembre. Ce dispositif, créé en 2011, propose aux licenciés économiques (dans les entreprises de moins de 1 000 salariés) une allocation et un accompagnement vers l’emploi renforcés, pour un an maximum. S’il est ratifié par les syndicats, cet accord remplacera l’actuelle convention qui expire le 31 décembre 2014.
Stéphane Lardy, secrétaire confédéral chargé de l’emploi, se satisfait de la mise en place d’un CSP « glissant ». Il permet de rallonger la durée du contrat pour ceux qui reprennent un emploi temporaire dans les six derniers mois du CSP.
Si l’objectif du CSP reste de trouver un emploi durable, les salariés pourront dorénavant effectuer des missions courtes sans sortir du dispositif.
L’accord crée une prime pour les bénéficiaires qui trouvent un contrat durable (au moins six mois) avant la fin du CSP. Enfin, ceux-ci pourront accéder aux formations éligibles au compte personnel de formation (CPF).
En revanche, le patronat n’est pas revenu sur la baisse de l’allocation de 80 à 75 % du salaire journalier de référence.
La négociation sur le contrat de sécurisation professionnelle (CSP) s’est achevée le 8 décembre. Ce dispositif, créé en 2011, propose aux licenciés économiques (dans les entreprises de moins de 1 000 salariés) une allocation et un accompagnement vers l’emploi renforcés, pour un an maximum. S’il est ratifié par les syndicats, cet accord remplacera l’actuelle convention qui expire le 31 décembre 2014.
Stéphane Lardy, secrétaire confédéral chargé de l’emploi, se satisfait de la mise en place d’un CSP « glissant ». Il permet de rallonger la durée du contrat pour ceux qui reprennent un emploi temporaire dans les six derniers mois du CSP.
Si l’objectif du CSP reste de trouver un emploi durable, les salariés pourront dorénavant effectuer des missions courtes sans sortir du dispositif.
L’accord crée une prime pour les bénéficiaires qui trouvent un contrat durable (au moins six mois) avant la fin du CSP. Enfin, ceux-ci pourront accéder aux formations éligibles au compte personnel de formation (CPF).
En revanche, le patronat n’est pas revenu sur la baisse de l’allocation de 80 à 75 % du salaire journalier de référence.
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