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La victime supposée d'un harcèlement doit-elle rester à son poste ?
Le 1er juin, une salariée de La Poste à Marseille a fait une tentative de suicide, le premier jour de sa reprise après deux mois d'arrêt maladie. Le responsable du site lui aurait fait partager sa surprise de la voir reprendre le travail alors qu'elle était engagée dans un protocole de harcèlement en tant que victime supposée. Elle n'avait rien à faire au travail selon lui. « Une double peine, en quelque sorte. Une telle attitude est, en partie, la cause du drame survenu ce matin », affirme SUD.
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