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26 / 07 / 2010 | 2 vues
Rodolphe Helderlé / Journaliste
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Géneral Motors : tout sauf la paix sociale après le référendum

Le référendum du 19 juillet dernier, lancé par la CFDT et FO avec le soutien de la direction a été la source d'une tension sociale originale sur le site General Motors de Strasbourg, après que la CGT ait refusé de signer l'accord de reprise proposé par la direction. Alors que 70 % des salariés s'étaient déclarés favorables au plan de rigueur de la direction qui vise à réduire les coûts salariaux de 10 %, les délégués CGT se sont retrouvés vendredi 23 juillet bloqués dans leur local par une soixantaine de salariés. L'accord de reprise venait d'être signé par la CFDT, FO et la CFTC. Y aurait-il eu cette « séquestration » sans référendum ?

 

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