Organisations
Transport routier : action syndicale (CFDT-CGT-CFE-CGC) de blocage de plates-formes logistiques
Le blocage d'une cinquantaine de plates-formes logistiques engagé hier s'est terminé hier matin vers 5h00.
Six zones géographiques étaient concernées : Dijon (Longvic et Fauverney), Tours (Saint-Pierre-des-Corps, Parçay-Meslay), Lyon sud (Saint-Pierre-de-Chandieu, Saint-Priest, Feyzin), Avignon, Paris sud et Paris nord (Gonesse, Bonneuil-en-France, La Courneuve, Gennevilliers).
C'est une action intersyndicale (CFDT-CGT-CFE-CGC) de grande ampleur qui a été organisée et qui a consisté à bloquer l'accès à de nombreuses plates-formes logistiques alimentant notamment le secteur de la grande distribution.
Pour l'intersyndicale CFDT-CGT-CFE-CGC, cette "première action est un avertissement qui ne restera pas sans suite, tant pour le patronat que pour le gouvernement, si ceux-ci ne font pas un geste fort sur les revendications de la plate-forme commune et notamment sur les salaires".
Précisons que côté patronal, la Fédération des entreprises de Transport et Logistique de France (TLF-fédération patronale) a indiqué peu avant le début du mouvement qu'elle était disposée à reprendre les négociations sur les grilles salariales (le premier niveau est en dessous du SMIC).
Six zones géographiques étaient concernées : Dijon (Longvic et Fauverney), Tours (Saint-Pierre-des-Corps, Parçay-Meslay), Lyon sud (Saint-Pierre-de-Chandieu, Saint-Priest, Feyzin), Avignon, Paris sud et Paris nord (Gonesse, Bonneuil-en-France, La Courneuve, Gennevilliers).
C'est une action intersyndicale (CFDT-CGT-CFE-CGC) de grande ampleur qui a été organisée et qui a consisté à bloquer l'accès à de nombreuses plates-formes logistiques alimentant notamment le secteur de la grande distribution.
Pour l'intersyndicale CFDT-CGT-CFE-CGC, cette "première action est un avertissement qui ne restera pas sans suite, tant pour le patronat que pour le gouvernement, si ceux-ci ne font pas un geste fort sur les revendications de la plate-forme commune et notamment sur les salaires".
Précisons que côté patronal, la Fédération des entreprises de Transport et Logistique de France (TLF-fédération patronale) a indiqué peu avant le début du mouvement qu'elle était disposée à reprendre les négociations sur les grilles salariales (le premier niveau est en dessous du SMIC).
Pas encore de commentaires