Se remettre sur le chemin du travail après un épuisement professionnel prend du temps : 6 mois, 1 an, 2 ans… Dans le « réseau de reconstruction post-burn-out », on soigne d’abord au sens clinique du terme tandis que Marie Pezé, à l’initiative en 1997 du premier des 130 dispositifs de consultations « souffrance et travail » considère qu’il faut poser le plus rapidement possible la question du travail, au risque d’allonger les congés-maladie.