Si donc l’on comprend aisément la démarche des nombreuses associations et de bénévoles qui défendent l’implantation des défibrillateurs automatiques dans les lieux publics et dans les entreprises, l’on a également à faire droit aux problèmes que celle-ci pose pour les responsables d’entreprise chargés de la décider.
Fin juin dernier, à la veille des vacances, nous avons été informés que les effectifs des trois CLIS (Classes d'intégration scolaire) de l’Essonne spécialisées en autisme seraient portés de 8 à 11 enfants (soit une augmentation de 40 %).
L’administration tente manifestement de donner des directives aux quelques 8000 enseignant(e)s encore rattachés aux Réseaux d’Aides Spécialisées aux Elèves en Difficulté (Rased) pour qu’ils prennent en charge tout ou partie de l’aide personnalisée.