Dans une décision majeure du 11 septembre 2019, la Cour de cassation a élargi le périmètre du préjudice d’anxiété en se fondant sur l’obligation de sécurité de l’employeur.
Le 20 juin 2019, la formation plénière de la Chambre sociale de la Cour de cassation a été amenée à examiner la demande de reconnaissance du préjudice d’anxiété de près de 800 anciens salariés des mines, de la SNCF et de la SNCM.
Selon un arrêt de la Cour de cassation du 5 avril dernier, tous les salariés exposés à l’amiante et présentant un risque élevé de tomber malades pourront demander réparation pour préjudice d’anxiété. Clarisse Josselin, journaliste, s'est penchée de plus près sur cette décision pour FO Hebdo cette semaine. Pas si simple...
Exposés pendant des années à l’amiante dans leur usine de Saint-Ouen, des salariés ont saisi le conseil des prud’hommes qui leur a donné raison.
Les salariés de Vivarte se sont rassemblés devant le siège du groupe à Paris le 7 avril, à l’appel de l’intersyndicale FO-CGT-CFTC-CGC-SUD. Ils sont venus dire leur refus des fermetures de magasins et des massives suppressions d’emploi. Ils protestent aussi contre le manque de lisibilité des plans de restructuration en cours.
