Avec un ralentissement de la croissance et de l’inflation qui n’avait pas été anticipé (ou volontairement ignoré), dans un contexte de croissance européen lui aussi déprimé (l’Allemagne chute et l’Italie est de nouveau en récession dans des proportions inattendues), pour la première fois depuis 2010, le déficit public est reparti à la hausse malgré l’augmentation spectaculaire de la pression