Organisations
SFR veut revoir sa GPEC pour maintenir ses marges
SFR a annoncé aux syndicats que la stratégie allait être revue pour maintenir les marges face à l’arrivée de Free mais aussi du fait de « la maturité du marché mobile ». Le plan qui se prépare devrait se traduire par la réduction, sur 2 ans, de 1 500 emplois en CDD, intérim et chez les prestataires.
« La direction souhaite négocier un avenant à l’accord de GPEC avec une priorité aux
reclassements internes, puis, dans la foulée, un nouvel accord sur les emplois menacés. La GPEC va être modifiée pour qu’un nombre d’emplois plus élevé qu'initialement
prévu soit considéré comme emploi menacé. Un salarié quitte le groupe (peu importe la raison) on le remplace par un salarié dont le poste est voué à disparaître », explique la CGT qui estime que « la GPEC est en réalité un outil de suppression d’emplois et d’augmentation des charges de travail ». La CGT ne se positionne pas comme signataire de l'avenant et invite les trois autres syndicats à ne pas se « compromettre ».
« La direction souhaite négocier un avenant à l’accord de GPEC avec une priorité aux
reclassements internes, puis, dans la foulée, un nouvel accord sur les emplois menacés. La GPEC va être modifiée pour qu’un nombre d’emplois plus élevé qu'initialement
prévu soit considéré comme emploi menacé. Un salarié quitte le groupe (peu importe la raison) on le remplace par un salarié dont le poste est voué à disparaître », explique la CGT qui estime que « la GPEC est en réalité un outil de suppression d’emplois et d’augmentation des charges de travail ». La CGT ne se positionne pas comme signataire de l'avenant et invite les trois autres syndicats à ne pas se « compromettre ».
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