Organisations
Pour les employés du casino de Deauville, tout ne marche pas comme sur des roulettes
Les salariés du casino de Deauville réagissent contre la dégradation de leurs conditions de travail, demandent le paiement de leurs heures supplémentaires et dénoncent le manque d’effectifs.
Après deux mobilisations les samedi 8 et 15 août, les salariés du casino de Deauville, réunis en assemblée générale le 18 août, ont décidé d’un nouveau mouvement de grève, qui durerait cette fois tout le week-end, les samedi 22 et dimanche 23 août. « Confrontés à la surdité de la direction, les salariés n’ont d’autre choix que de poursuivre et amplifier la mobilisation », indique Sophie Giannini, déléguée syndicale FO.
À l’origine du malaise, un plan de sauvegarde de l’emploi présenté en décembre 2014 par la maison mère, le groupe Lucien Barrière, qui s’est traduit par la suppression de 70 postes dans sa société des hôtels et casinos de Deauville.
« Avec un effectif moindre, les employés ne sont plus en mesure de prendre leurs récupérations », explique Sophie Giannini, dont le syndicat s’oppose en outre à la dénonciation de l’accord d’entreprise.
Pour le syndicat FO, la proposition d’engagement de la direction sur les heures et le temps de travail, acceptée par deux autres syndicats, ne suffit pas. C'est pourquoi le syndicat FO demande en fait la signature d’un véritable accord.
Après deux mobilisations les samedi 8 et 15 août, les salariés du casino de Deauville, réunis en assemblée générale le 18 août, ont décidé d’un nouveau mouvement de grève, qui durerait cette fois tout le week-end, les samedi 22 et dimanche 23 août. « Confrontés à la surdité de la direction, les salariés n’ont d’autre choix que de poursuivre et amplifier la mobilisation », indique Sophie Giannini, déléguée syndicale FO.
À l’origine du malaise, un plan de sauvegarde de l’emploi présenté en décembre 2014 par la maison mère, le groupe Lucien Barrière, qui s’est traduit par la suppression de 70 postes dans sa société des hôtels et casinos de Deauville.
« Avec un effectif moindre, les employés ne sont plus en mesure de prendre leurs récupérations », explique Sophie Giannini, dont le syndicat s’oppose en outre à la dénonciation de l’accord d’entreprise.
Pour le syndicat FO, la proposition d’engagement de la direction sur les heures et le temps de travail, acceptée par deux autres syndicats, ne suffit pas. C'est pourquoi le syndicat FO demande en fait la signature d’un véritable accord.
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