Dans un monde professionnel mouvant où les changements de poste et les reconversions sont monnaie courante et où l’agilité devient indispensable pour s’adapter en permanence à son environnement de travail et à la technologie numérique, la formation professionnelle est vitale.

Pour qui ? Tous les actifs sont concernés par la formation : les salariés, les chômeurs, notamment les jeunes, les seniors et les chômeurs de longue durée.

Pourquoi ? Que l’on soit chômeur ou salarié, jeune ou senior, la formation professionnelle constitue un puissant levier. Elle donne accès à des compétences et à des connaissances en accord avec les besoins des entreprises. Elle permet notamment de s’adapter aux évolutions liées à la numérisation de la société.

Le numérique est partout. Il allège les tâches du salarié en réduisant la part des tâches répétitives et en augmentant la productivité. Mais il fragilise aussi les statuts en réclamant une adaptation permanente, un renouveau incessant des compétences et en isolant le travailleur. La question n’est pas d’être pour ou contre. Il s’agit de se donner les moyens d’intégrer la nouveauté, de la maîtriser et de « jongler » avec.

C’est là que la formation intervient. Elle seule rend l’adaptation permanente possible. La formation est l’avenir de l’emploi.

Reste à bien la choisir. Formation qualifiante ? Formation diplômante ? Formation courte ou longue ? Quel est le pari gagnant pour l’emploi ?

D’après des enquêtes d'ORM réalisées sur 7 100 jeunes et adultes chômeurs, et exploitées par le CÉREQ en 2015, 64 % des stagiaires diplômés de leur formation sont ont un emploi deux ans après la formation, contre seulement 41 % de ceux qui ont abandonné en cours ou échoué au diplôme.

L’importance du diplôme sur le marché du travail français n’est donc pas un leurre. Diplôme d’État, titre ou certification professionnelle, le diplôme vous assurera une reconnaissance et rassurera vos futurs employeurs.