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Nouvelles coupes dans les effectifs de Sanofi
Sous couvert de permettre de renforcer la croissance et d’assurer la pérennité de Sanofi dans les années à venir, Sanofi déploie son plan stratégique 2020, qui mènera à une réduction d’effectifs de 600 postes en France sur les trois prochaines années.
La politique engagée par Olivier Brandicourt est donc très voisine de celle employée par son prédécesseur puisque ce projet devrait permettre un plan d’économie de 1,5 milliard d'euros d’ici 2018. Ces économies qui devraient venir de la réduction des marges brutes (deux tiers) et de la réduction des effectifs (un tiers).
Même si les mesures déployées par Sanofi pour se séparer des salariés se feront sur la base du volontariat et qu’elles seront entièrement financées par le groupe, les salariés restant en poste n'en verront pas moins leur charge de travail augmenter sur les entités touchées par ce plan, à savoir les usines de production pharmaceutique (SWI), les fonctions supports (SAG) et les forces de vente (SAF) ; d’autant plus que dans certaines de ces entités, les taux d’emplois précaires sont déjà élevés.
La CFE-CGC est déterminée à faire évoluer les mesures proposées ce jour par la direction, à savoir (pour les salariés bénéficiant d’au moins 10 ans d’ancienneté) :
En parallèle, la CFE-CGC mettra tout en œuvre pour que les salariés restant en poste conservent des charges de travail acceptables.
Les élus et mandatés CFE-CGC aborderont les prochaines échéances de manière professionnelle, responsable et déterminée pour défendre au mieux les intérêts des 27 000 salariés de Sanofi en France, notamment lors du comité central extraordinaire de Sanofi chimie du 3 février et du comité de groupe extraordinaire planifié le 4 février 2016.
Isabelle Fréret
représentante CFE-CGC de la branche industrie pharmaceutique
tél. : 06 73 92 12 87.
La politique engagée par Olivier Brandicourt est donc très voisine de celle employée par son prédécesseur puisque ce projet devrait permettre un plan d’économie de 1,5 milliard d'euros d’ici 2018. Ces économies qui devraient venir de la réduction des marges brutes (deux tiers) et de la réduction des effectifs (un tiers).
Même si les mesures déployées par Sanofi pour se séparer des salariés se feront sur la base du volontariat et qu’elles seront entièrement financées par le groupe, les salariés restant en poste n'en verront pas moins leur charge de travail augmenter sur les entités touchées par ce plan, à savoir les usines de production pharmaceutique (SWI), les fonctions supports (SAG) et les forces de vente (SAF) ; d’autant plus que dans certaines de ces entités, les taux d’emplois précaires sont déjà élevés.
La CFE-CGC est déterminée à faire évoluer les mesures proposées ce jour par la direction, à savoir (pour les salariés bénéficiant d’au moins 10 ans d’ancienneté) :
- des dispositifs de pré-retraite, avec des durées de portage allant de 4 à 5 ans et demis, selon les sociétés ;
- des dispositifs de départs volontaires.
En parallèle, la CFE-CGC mettra tout en œuvre pour que les salariés restant en poste conservent des charges de travail acceptables.
Les élus et mandatés CFE-CGC aborderont les prochaines échéances de manière professionnelle, responsable et déterminée pour défendre au mieux les intérêts des 27 000 salariés de Sanofi en France, notamment lors du comité central extraordinaire de Sanofi chimie du 3 février et du comité de groupe extraordinaire planifié le 4 février 2016.
Isabelle Fréret
représentante CFE-CGC de la branche industrie pharmaceutique
tél. : 06 73 92 12 87.
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