Organisations
Près de 25 % d’emplois seraient menacés chez Dim
Dim, l'une des dernières grosses entreprises du secteur textile spécialisée dans la fabrication des collants, bas et sous-vêtements, risque d’annoncer le 15 avril prochain lors du comité central d’entreprise, la suppression de 400 emplois sur les 1 450 que compte le groupe.
Racheté il y a trois mois par le géant américain « HBI » (HANESBDS), première entreprise au monde dans l’industrie textile et qui compte près de 50 000 salariés, Dim envisagerait de supprimer 400 emplois, dont 160 sur le site de production d’Autun (71) qui compte encore actuellement 850 salariés, et 240 au siège social basé à Rueil Malmaison (92), qui totalise 550 emplois.
Ces suppressions d’emplois toucheraient principalement les agents de maîtrise et les cadres sous prétexte d’un plan d’économies que souhaiterait réaliser le groupe « HBI » afin de mieux « rebondir ».
Pour notre fédération, ces suppressions d’emplois ne seraient qu’une première étape puisqu’à moyen, voire court termes, nous craignons la liquidation pure et simple du groupe Dim.
Une fois de plus, nous ne pouvons que déplorer la logique comptable de ces repreneurs peu scrupuleux qui n’ont qu’un objectif, celui de faire des gains considérables sur le dos des travailleurs afin de redistribuer un maximum d’argent à leurs actionnaires.
Notre organisation syndicale va, bien entendu, être extrêmement vigilante à ce qui va être annoncé ces prochains jours.
Si besoin, elle mettra tout en œuvre pour défendre les intérêts des salariés dans un secteur industriel qui a déjà perdu des centaines de milliers d’emplois depuis le début des années 1980.
Racheté il y a trois mois par le géant américain « HBI » (HANESBDS), première entreprise au monde dans l’industrie textile et qui compte près de 50 000 salariés, Dim envisagerait de supprimer 400 emplois, dont 160 sur le site de production d’Autun (71) qui compte encore actuellement 850 salariés, et 240 au siège social basé à Rueil Malmaison (92), qui totalise 550 emplois.
Ces suppressions d’emplois toucheraient principalement les agents de maîtrise et les cadres sous prétexte d’un plan d’économies que souhaiterait réaliser le groupe « HBI » afin de mieux « rebondir ».
Pour notre fédération, ces suppressions d’emplois ne seraient qu’une première étape puisqu’à moyen, voire court termes, nous craignons la liquidation pure et simple du groupe Dim.
Une fois de plus, nous ne pouvons que déplorer la logique comptable de ces repreneurs peu scrupuleux qui n’ont qu’un objectif, celui de faire des gains considérables sur le dos des travailleurs afin de redistribuer un maximum d’argent à leurs actionnaires.
Notre organisation syndicale va, bien entendu, être extrêmement vigilante à ce qui va être annoncé ces prochains jours.
Si besoin, elle mettra tout en œuvre pour défendre les intérêts des salariés dans un secteur industriel qui a déjà perdu des centaines de milliers d’emplois depuis le début des années 1980.
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