Organisations
L'union syndicale Solidaires s'invite aux élections professionnelles de GMF Assurances
L’union syndicale Solidaires présente pour la première fois des listes aux élections du comité d’entreprise et des délégués du personnel qui ont lieu le 1er avril 2010 au sein de GMF Assurances.
Son objectif est de recueillir plus de 10 % des suffrages pour obtenir sa représentativité au sein de l’entreprise et pouvoir négocier des accords collectifs.
En effet, depuis la nouvelle loi du 20 août 2008, tout syndicat est représentatif au sein d'une entreprise que dans la mesure où il obtient 10 % des suffrages exprimés (hors votes blancs et nuls) au premier tour des élections des titulaires au comité d’entreprise.
La section syndicale de l’union syndicale Solidaires est composée principalement d’anciens militants du SAP/GMF Unsa dont certains ont occupé durant de nombreuses années des responsabilités syndicales (secrétaire général, trésorier, délégué syndical, membre de la commission exécutive, représentant syndical au CHSCT, élu DP et CE…), mais aussi des responsabilités au comité d’entreprise (trésorier, président de commissions, membre de commission…). Étant en total désaccord avec les procédés antidémocratiques et anti-statutaires utilisés, nous avons décidé de fonder un syndicat basé sur des valeurs d’innovation sociale et de solidarité aux services de tous les salariés.
Membre fondateur du syndicat SAP/GMF Unsa et secrétaire général durant 7 années, j'ai été désigné par l’union syndicale Solidaires en septembre 2009, représentant de section syndicale. Il avait été contesté devant le Tribunal d’Instance de Paris XVIIème par la direction de GMF Assurances Le Tribunal avait validé ma désignation en novembre 2009 et la création de la section syndicale.
Dans sa profession de foi, l’union syndicale Solidaires met en avant les objectifs suivants pour la mandature 2010-2013 :
Notre vision du comité d'entreprise et du syndicalisme repose sur :
Ils estiment que tous les salarié-e-s doivent pouvoir :
Son objectif est de recueillir plus de 10 % des suffrages pour obtenir sa représentativité au sein de l’entreprise et pouvoir négocier des accords collectifs.
En effet, depuis la nouvelle loi du 20 août 2008, tout syndicat est représentatif au sein d'une entreprise que dans la mesure où il obtient 10 % des suffrages exprimés (hors votes blancs et nuls) au premier tour des élections des titulaires au comité d’entreprise.
La section syndicale de l’union syndicale Solidaires est composée principalement d’anciens militants du SAP/GMF Unsa dont certains ont occupé durant de nombreuses années des responsabilités syndicales (secrétaire général, trésorier, délégué syndical, membre de la commission exécutive, représentant syndical au CHSCT, élu DP et CE…), mais aussi des responsabilités au comité d’entreprise (trésorier, président de commissions, membre de commission…). Étant en total désaccord avec les procédés antidémocratiques et anti-statutaires utilisés, nous avons décidé de fonder un syndicat basé sur des valeurs d’innovation sociale et de solidarité aux services de tous les salariés.
Membre fondateur du syndicat SAP/GMF Unsa et secrétaire général durant 7 années, j'ai été désigné par l’union syndicale Solidaires en septembre 2009, représentant de section syndicale. Il avait été contesté devant le Tribunal d’Instance de Paris XVIIème par la direction de GMF Assurances Le Tribunal avait validé ma désignation en novembre 2009 et la création de la section syndicale.
Dans sa profession de foi, l’union syndicale Solidaires met en avant les objectifs suivants pour la mandature 2010-2013 :
- augmenter les salaires en améliorant la progression du pouvoir d’achat et imposer une augmentation du budget des promotions individuelles sans répercussion sur la politique salariale collective ;
- stopper l’individualisation du travail source de stress au profit d’un travail d’équipe plus valorisant et plus efficace ;
- défendre l’emploi de tous les salariés et veiller à ce que chaque salarié touché aujourd’hui par la restructuration du réseau soit reclassé dans le métier de son choix dans le total respect du Code du Travail (maintien de la classe), sans mobilité imposée et perte financière ;
- obliger l’entreprise à renégocier les classifications et les rémunérations et revendiquer la mise en place de classes intermédiaires ;
- obliger la direction à assurer un réel suivi de chaque salarié qui postule à un poste, et revendiquer l’équité dans la politique des nominations et des mutations ;
- compenser les écarts de salaires entre les femmes et les hommes par des mesures d’augmentation salariale immédiates dès qu’ils sont avérés ;
- obliger l’entreprise à aménager les postes de travail de chaque salarié touchés par les troubles musculo-squelettiques (fauteuil ergonomique, clavier adapté…) ;
- contraindre l’entreprise à recruter des salariés handicapés et à les maintenir dans leur emploi, à rendre tous les sites de travail accessibles, à faire en sorte que chaque salarié quittant l’entreprise en raison d’une invalidité ne soit pas privé de salaires pendant plusieurs mois, avant d’être pris en charge par le régime de prévoyance ;
- lutter contre toute forme de discrimination ;
- négocier un avenant au contrat groupe prévoyance collective pour inclure la prestation dépendance.
- une meilleure répartition des budgets des œuvres sociales ;
- le droit à toutes les prestations sans délai de carence, quels que soient le statut et le contrat de travail ;
- étendre l’utilisation du chèque emploi service à toutes les prestations ;
- mutualiser l'offre de voyage pour favoriser les voyages de groupe accessibles au plus grand nombre ;
- augmenter les chèques vacances pour les salariés ayant les plus faibles revenus ;
- favoriser un plus grand choix de loisirs et négocier des réductions conséquentes, développer la billetterie spectacles et cinémas, mais aussi proposer des événements culturels de proximité ;
- des aides individuelles en cas d’urgence ;
- une gestion des fonds transparente et démocratique.
Notre vision du comité d'entreprise et du syndicalisme repose sur :
- des comptes-rendus des réunions et une information régulière de qualité complète et transparente ;
- un débat démocratique avec tou-te-s les salarié-e-s ;
- un combat sans relâche pour défendre l'intérêt de tou-te-s les salarié-e-s.
Ils estiment que tous les salarié-e-s doivent pouvoir :
- prendre connaissance chaque année des budgets, des comptes et surtout des dépenses du CE ;
- prendre connaissance des décisions prises par les élu-e-s du CE : qui a voté quoi et pourquoi ?
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