Organisations
Représentativité : la Confédération Autonome du Travail (CAT) restera indépendante et autonome
L'actualité de ces derniers temps fait état de possibles regroupements syndicaux, consécutifs notamment à la loi du 20 août 2008 concernant la représentativité des organisations syndicales.
La Confédération Autonome du Travail (C.A.T), qui s’est toujours inscrite dans le cadre du respect des valeurs démocratiques et républicaines, rappelle qu'elle a été fondée en novembre 1953 par des syndicats qui avaient quitté la CGT entre 1946 et 1950 et qui refusèrent alors, pour préserver leur autonomie, de rejoindre Force Ouvrière fondée fin décembre 1947.
Ces valeurs de progrès social, d'autonomie et d'indépendance que la C.A.T défend depuis 55 ans constituent encore aujourd'hui le fondement de son existence. C'est pourquoi la C.A.T tient à les réaffirmer, précisant qu'elle se situe clairement à l'écart de tous les projets de regroupements ou de fusions d’organisations syndicales.
La C.A.T lance un appel à tous les salariés qui ne se reconnaissent pas dans les syndicats pour lesquels la loi du 20 août dernier a supprimé la présomption irréfragable de représentativité. Depuis plus de 50 ans, la C.A.T revendiquait ce droit de pouvoir présenter des listes dès le premier tour des élections professionnelles dans toutes les entreprises : ceci est désormais possible.
L'autre innovation apportée par la loi du 20 août dernier concerne la possibilité de désigner, sous certaines conditions, un représentant de la section syndicale (RSS), sans exigence de représentativité ; ceci offre à la C.A.T des perspectives nouvelles d’implantation alors qu’auparavant il fallait qu’elle prouve sa représentativité devant les tribunaux pour pouvoir exister et agir légalement dans chaque entreprise.
La C.A.T se tient à la disposition de tous les salariés intéressés et surtout motivés pour s'investir dans le développement d'un syndicalisme C.A.T de progrès social, autonome et indépendant de toute influence extérieure.
La Confédération Autonome du Travail (C.A.T), qui s’est toujours inscrite dans le cadre du respect des valeurs démocratiques et républicaines, rappelle qu'elle a été fondée en novembre 1953 par des syndicats qui avaient quitté la CGT entre 1946 et 1950 et qui refusèrent alors, pour préserver leur autonomie, de rejoindre Force Ouvrière fondée fin décembre 1947.
Ces valeurs de progrès social, d'autonomie et d'indépendance que la C.A.T défend depuis 55 ans constituent encore aujourd'hui le fondement de son existence. C'est pourquoi la C.A.T tient à les réaffirmer, précisant qu'elle se situe clairement à l'écart de tous les projets de regroupements ou de fusions d’organisations syndicales.
La C.A.T lance un appel à tous les salariés qui ne se reconnaissent pas dans les syndicats pour lesquels la loi du 20 août dernier a supprimé la présomption irréfragable de représentativité. Depuis plus de 50 ans, la C.A.T revendiquait ce droit de pouvoir présenter des listes dès le premier tour des élections professionnelles dans toutes les entreprises : ceci est désormais possible.
L'autre innovation apportée par la loi du 20 août dernier concerne la possibilité de désigner, sous certaines conditions, un représentant de la section syndicale (RSS), sans exigence de représentativité ; ceci offre à la C.A.T des perspectives nouvelles d’implantation alors qu’auparavant il fallait qu’elle prouve sa représentativité devant les tribunaux pour pouvoir exister et agir légalement dans chaque entreprise.
La C.A.T se tient à la disposition de tous les salariés intéressés et surtout motivés pour s'investir dans le développement d'un syndicalisme C.A.T de progrès social, autonome et indépendant de toute influence extérieure.
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