Organisations
Les nouvelles perspectives du développement durable
A quand un système fiscal où les consommations énergétiques seront davantage taxées que les salaires ? Voilà qui pourrait confiner à une « taxe informationnelle » dans une industrie des services dont les bases de données se révèlent chaque jour plus voraces. La crise serait donc pour certains l'opportunité d'inventer les nouveaux équilibres d'un système fiscal permettant indirectement de financer la protection sociale.
Si les Etats ont pour le moment tendance à proposer des adaptations conjoncturelles, les intervenant(e)s de cette première université de printemps de l'Ires se sont employé(e)s à dessiner les perspectives de ce à quoi pourrait ressembler le monde de demain.
Un monde où les Etats seraient en capacité de redonner du sens à un impôt qui contribuerait lui aussi à financer une protection sociale au service de la politique économique. Comme cela a été le cas chez nous au sortir de la deuxième guerre mondiale.
Un monde sous tendu par de nouvelles formes de coopération. Entre par exemple des syndicats de salariés historiquement axés sur la défense de l'emploi au travers de la représentation interne et les actions externes conduites par des associations de défense de l'environnement ou des droits humains. Reste à dépasser les contradictions et des modes de représentativité différents.
De nouvelles formes de coopération qui restent aussi à inventer au niveau des territoires entre les acteurs des politiques publiques et les entreprises afin de véritablement anticiper l'évolution des emplois. Pour beaucoup, la GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) n'a véritablement du sens qu'au niveau des territoires. A l'autre bout, les institutions internationales vont aussi devoir apprendre à intégrer toutes les parties prenantes.
Au travers de ces quatre questions :
Retrouvez les témoignages vidéos de Bernadette Dodane (Co-présidente de la société Cristel), Mathilde Lemoine (Directeur des études économiques, HSBC France), Jean-François Trogrlic (Directeur du BIT de Paris ), Philippe Moati (Professeur de sciences économiques, Université Paris Diderot et Directeur de recherches au CREDOC), El Mouhoub Mouhoud (Professeur d'économique, Université Paris-Dauphine), François Guinot (Ancien dirigeant d'entreprise), Jean-Charles Hourcade (Directeur du Centre international de recherche sur l'environnement et le développement ), François Soulage (Président national du Secours Catholique), Patrick Gonthier (Secrétaire général de l'Unsa-Education), Bernard van Craeynest (Président de la CFE-CGC), Jean-Christophe Le Duigou (Secrétaire confédéral de la CGT), Joseph Thouvenel (secrétaire adjoint de la CFTC), François Chérèque (Secrétaire général de la CFDT), Joël Decaillon (Secrétaire confédéral de la Confédération européenne des syndicats, CES) et Jim Baker (Coordinateur général de Global Unions).
Si les Etats ont pour le moment tendance à proposer des adaptations conjoncturelles, les intervenant(e)s de cette première université de printemps de l'Ires se sont employé(e)s à dessiner les perspectives de ce à quoi pourrait ressembler le monde de demain.
Un monde où les Etats seraient en capacité de redonner du sens à un impôt qui contribuerait lui aussi à financer une protection sociale au service de la politique économique. Comme cela a été le cas chez nous au sortir de la deuxième guerre mondiale.
Un monde sous tendu par de nouvelles formes de coopération. Entre par exemple des syndicats de salariés historiquement axés sur la défense de l'emploi au travers de la représentation interne et les actions externes conduites par des associations de défense de l'environnement ou des droits humains. Reste à dépasser les contradictions et des modes de représentativité différents.
De nouvelles formes de coopération qui restent aussi à inventer au niveau des territoires entre les acteurs des politiques publiques et les entreprises afin de véritablement anticiper l'évolution des emplois. Pour beaucoup, la GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) n'a véritablement du sens qu'au niveau des territoires. A l'autre bout, les institutions internationales vont aussi devoir apprendre à intégrer toutes les parties prenantes.
Au travers de ces quatre questions :
- Quelles nouvelles coopérations pour un développement durable ? (11 minutes)
- Comment conjuguer social et environnement ? (7 minutes 30)
- La responsabilité sociale des entreprises, c'est quoi ? (7 minutes)
- Les consommateurs ont-ils une part de responsabilité dans la faillite du modèle actuel (3 minutes 20)
Retrouvez les témoignages vidéos de Bernadette Dodane (Co-présidente de la société Cristel), Mathilde Lemoine (Directeur des études économiques, HSBC France), Jean-François Trogrlic (Directeur du BIT de Paris ), Philippe Moati (Professeur de sciences économiques, Université Paris Diderot et Directeur de recherches au CREDOC), El Mouhoub Mouhoud (Professeur d'économique, Université Paris-Dauphine), François Guinot (Ancien dirigeant d'entreprise), Jean-Charles Hourcade (Directeur du Centre international de recherche sur l'environnement et le développement ), François Soulage (Président national du Secours Catholique), Patrick Gonthier (Secrétaire général de l'Unsa-Education), Bernard van Craeynest (Président de la CFE-CGC), Jean-Christophe Le Duigou (Secrétaire confédéral de la CGT), Joseph Thouvenel (secrétaire adjoint de la CFTC), François Chérèque (Secrétaire général de la CFDT), Joël Decaillon (Secrétaire confédéral de la Confédération européenne des syndicats, CES) et Jim Baker (Coordinateur général de Global Unions).
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Belle initiative