Elles piétinent, les négociations sur l’organisation du travail, les conditions de travail, l’équilibre vie privée-vie professionnelle, les institutions représentatives du personnel et les règles de mobilité qui déroulent depuis que la direction a reconnu qu’il y avait tout de même lieu de se bouger en matière de prévention des risques psychosociaux. Pour trois raisons : parce qu’il faudra attendre le 14 décembre pour que les résultats du questionnaire qui vient de s’achever alimentent les négociations engagées, parce que la question des seniors qui se trouve être majeure ne fait pas partie du package et enfin parce que les syndicats sont loin d’être unis...