Bel effort d’une partie des têtes d’affiche du syndicalisme français, qui ont levé mi-juin le grand secret sur leur salaire et le nom de celui qui le payait, le syndicat avec les cotisations ou les entreprises de rattachement. Mais tout cela manque encore largement de transparence et surtout ces niveaux de salaire sont très faibles quand on les compare avec un niveau moyen des rémunérations de leurs homologues américains qui sont entre trois et quatre fois supérieurs. Outre-Atlantique, on est très à l’aise pour rémunérer la compétence syndicale. Approche comparée