Les négociations annuelles obligatoires s’inscrivent cette année encore dans un climat d’incertitudes fortes, tant au niveau national qu’à l’échelle internationale.
De la difficulté pour les instances représentatives du personnel de se saisir, dans un cadre légal de débats et de négociation plus contraint, des impacts concrets du changement climatique et des questions environnementales pour le travail, les conditions de travail, l’emploi et l’employabilité de ceux qu’elles représentent.
Les acteurs de l’entreprise, côté direction et côté syndicats, sont plus que jamais obligés de se réinventer, d’être à l’écoute et de remettre à plat certaines de leurs certitudes face à de jeunes générations moins attachées aux process et soucieuses avant toute chose de la qualité de vie au travail.
Examiné à la loupe comme une tendance lourde post-Covid, en progression régulière dans les entreprises et les organisations, l'absentéisme cristallise encore des a priori. Il demeure aujourd’hui une interrogation vis-à-vis d’un phénomène mal maîtrisé dans les réponses à y apporter.
Face au développement accéléré de l’intelligence artificielle et à l’émergence de l’IA générative, les questions relatives aux conséquences de ces outils sur les métiers et les emplois se posent de manière urgente.
Le 26 mars 2024, Secafi a invité, aux côtés de Pierre Ferracci, Sophie Binet, Secrétaire Générale de la CGT, et François Hommeril, Président Confédéral de la CFE-CGC,