Depuis le 1er janvier 2018, le Comité social et économique (CSE) remplace, en les fusionnant, les actuelles institutions représentatives élues du personnel : délégués du personnel, comité d’entreprise et CHSCT.
Lors du passage du projet de loi « fonction publique » le 18 juin, un amendement gouvernemental envisageait de modifier les attributions disciplinaires du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Le ton monte au sein des Douanes entre certains syndicats et la direction alors que des consignes ont été données par Gérald Darmanin, ministre de tutelle de cette administration, pour lever le pied en matière de contrôle douanier.
À l’occasion du colloque « quel CSE pour demain ? » organisé au siège du journal Le Monde par Up, le réseau Cezam, Syndex et le groupe Technologia, des représentants du personnel (CE/CSE/CHSCT) et des dirigeants des principales organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO et UNSA) ont dressé un premier bilan de la mise en œuvre du c
Ce n’est pas nouveau mais la tendance aurait tendance à s’amplifier avec un passage en CSE qui rime avec une formation SSCT (soumise à un agrément avec un cahier des charges spécifiques) de 3 à 5 jours à laquelle ont le droit l’ensemble des élus et pas seulement les membres de la commission SSCT.
Avec Logidev, un logiciel développé par l’UNSA au niveau national, les responsables des unions fédérales se voient proposer un outil d’aide à la décision en matière de ciblage électoral. L’idée consistant à bien montrer les entreprises où l’UNSA n’est pas présente ou uniquement sur le site d’un groupe. Priorité aux implantations où la représentativité pèse le plus.
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