Les entreprises de travail intérimaire (ETT) commencent à lâcher du lest sur la prime Macron.
La première phase de saisie en référé des tribunaux par la CFTC a démarré en juin et les premiers dossiers seront examinés le 21 août par le TGI de Paris. Le syndicat CFTC s’en tient pour l’instant à une demande de documents sur la façon dont ont été effectués les calculs de la prime Macron défiscalisée.
Suite au mouvement des gilets jaunes, le gouvernement a instauré une prime exceptionnelle en vue d’améliorer le pouvoir d’achat. Cette prime est exonérée d’impôt sur le revenu et de cotisations sociales, dans la limite de 1 000 euros par salarié.
Les exonérations ne peuvent bénéficier qu’aux salariés dont la rémunération en 2018 était inférieure à 3 fois le SMIC annuel.