L’association l’ESPER (*) renouvelle son programme « mon entreprise sociale et solidaire à l’école » à destination du personnel éducatif et ses élèves souhaitant s’engager dans des projets d’éducation à l’économie sociale et solidaire (ESS) à la rentrée scolaire 2018.
Remise du rapport pour une politique associative ambitieuse au Premier Ministre le 8 juin, pacte de croissance pour l’économie sociale et solidaire (ESS) avant le 15 juillet, première promo « French impact », loi PACTE… Le Fil Cides coche le calendrier chargé de l’ESS.
Hugues Sibille (président du Labo de l’ESS) revient sur la mission « entreprise et intérêt général » pour Chorum Cides, au moment où leurs rapporteurs, Nicole Notat et Jean-Dominique Sénard achèvent leurs entretiens. Il identifie les points positifs et de vigilance de l’initiative gouvernementale...
L’économie sociale et solidaire s’inscrit dans un jeu de tensions contradictoires entre de puissantes logiques de banalisation d’une part, largement liées à la financiarisation et dérégulation de l’économie et logiques d’innovation, d’autre part, répondant à des enjeux auxquels seules des politiques d’alliance peuvent répondre.
L’économie sociale et solidaire (ESS) compte aujourd’hui 165 000 entreprises et emploie près de 2,4 millions de personnes (soit 13 % de l’emploi salarié privé) dans de multiples secteurs d’activité. Elle représente donc un secteur majeur.
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