Organisations
Ondes électromagnétiques : le CHSCT de la direction des affaires culturelles de Paris préconise des « zones blanches »
Le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de la Direction des Affaires culturelles (DAC) de la Ville de Paris s’est déclaré à l’unanimité en faveur de la déclinaison de la loi Abeille, relative à la sobriété, à la transparence, à l'information et à la concertation en matière d'exposition aux ondes électromagnétiques. Une mesure qui devrait s’appliquer notamment dans les espaces jeunesses des bibliothèques de la capitale.
Cette instance présidée par le premier adjoint en charge de la culture, Bruno Julliard avait par ailleurs fait appel à plusieurs « personnalités qualifiées » pour éclairer les débats, soit un représentant de la direction des services informatiques de le Ville (DSTI), le porte-parole de Robin des Toits, Étienne Cendrier mais surtout la députée du Val-de-Marne, Laurence Abeille elle-même. La députée a ainsi pu exposer tant aux membres représentants le personnel qu’à ceux de l’administration les fondements de la loi qui porte son nom.
Ce CHSCT adoptait également, toujours à l’unanimité de ses membres présents (CGT, CFDT, FO, SUPAP et UCP) un avis précisant que « tant pour le personnel que pour les usagers doivent exister des lieux publics et des lieux de travail qui protègent les personnes électro-hyper-sensibles et ne les excluent ni de la vie professionnelle, ni de la vie sociale ».
Cet avis préconise par ailleurs que soit étudiée la mise en place de « zones blanches » au sein de la municipalité, notamment dans les établissements de la Direction des affaires culturelles. Il précise que le personnel doit bénéficier de bureaux protégés sans wi-fi et d'outils informatiques connectés prioritairement par du filaire.
Les membres du CHSCT se sont également prononcés en faveur d'une baisse générale de l’exposition aux ondes pour tous et de l'utilisation de tablettes filaires dans l'ensemble des établissements de la DAC recevant du jeune public. Enfin, un groupe de travail sur cette question des ondes électromagnétiques et de ses répercutions sur la santé des agents a également été voté de manière unanime.
Ne reste plus à la Direction des affaires culturelles et à Bruno Julliard, président de ce CHSCT et premier adjoint à la Maire de Paris, de respecter les avis exprimés dans les instances de la Ville.
Cette instance présidée par le premier adjoint en charge de la culture, Bruno Julliard avait par ailleurs fait appel à plusieurs « personnalités qualifiées » pour éclairer les débats, soit un représentant de la direction des services informatiques de le Ville (DSTI), le porte-parole de Robin des Toits, Étienne Cendrier mais surtout la députée du Val-de-Marne, Laurence Abeille elle-même. La députée a ainsi pu exposer tant aux membres représentants le personnel qu’à ceux de l’administration les fondements de la loi qui porte son nom.
Ce CHSCT adoptait également, toujours à l’unanimité de ses membres présents (CGT, CFDT, FO, SUPAP et UCP) un avis précisant que « tant pour le personnel que pour les usagers doivent exister des lieux publics et des lieux de travail qui protègent les personnes électro-hyper-sensibles et ne les excluent ni de la vie professionnelle, ni de la vie sociale ».
Cet avis préconise par ailleurs que soit étudiée la mise en place de « zones blanches » au sein de la municipalité, notamment dans les établissements de la Direction des affaires culturelles. Il précise que le personnel doit bénéficier de bureaux protégés sans wi-fi et d'outils informatiques connectés prioritairement par du filaire.
Les membres du CHSCT se sont également prononcés en faveur d'une baisse générale de l’exposition aux ondes pour tous et de l'utilisation de tablettes filaires dans l'ensemble des établissements de la DAC recevant du jeune public. Enfin, un groupe de travail sur cette question des ondes électromagnétiques et de ses répercutions sur la santé des agents a également été voté de manière unanime.
Ne reste plus à la Direction des affaires culturelles et à Bruno Julliard, président de ce CHSCT et premier adjoint à la Maire de Paris, de respecter les avis exprimés dans les instances de la Ville.
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