- pouvoir faire un travail de qualité,
- être performant ou tout au moins efficace.
La QVT (qualité de vie au travail) se construira sur la qualité du travail et pas avant. Que l'on soit dirigeant, IRP ou salarié nul ne peut contester ces fondamentaux.
La non-qualité du travail coûte 13,5K€ par an et par salarié, comme le montre l'étude sectorielle de l'IBET sur les statistiques 2011, soit 250 milliards d'euros pour la collectivité du secteur marchand uniquement.
Les misérables 20 milliards d'euros raclés dans les fonds de tiroir pour financer l'aubaine nouvelle du CICE sont ridicules.
Comme disait Coluche, occupons-nous d'abord de nos pauvres. En l'espèce, « améliorer sa performance, c'est d'abord ne pas la dégrader ».
Gagner 20 % sur la non-qualité du travail (organisation+contenu) est bien facile à réaliser hors coût du travail, que 1 % de marge ou de CA supplémentaire.
Sans que cela ne coûte au contribuable. Oui mais voilà, quand le diagnostic est faux, le contre-sens pointe son nez avec tous les dégâts collatéraux.