Organisations
Diversité : laissez place à l'« empowerment »
Fin juillet doit se tenir à Paris le festival afroféministe Nyansapo, qui a récemment été au cœur d’une polémique reprise à la fois par des personnalités d’extrême droite, des associations antiracistes et par la maire de Paris, Anne Hidalgo. La raison de ce coup de projecteur est que l'organisation de certains ateliers en non-mixité dans des locaux publics, une information qui s’est finalement révélée inexacte. Au-delà de cette erreur, c’est la question de la mixité ou non-mixité de ces événements qui a alimenté les débats.
Si au lieu de considérer cela comme un rejet de certains, nous considérions plutôt ces moments comme des espaces privilégiés, pour des potentielles victimes de discriminations, de libération de la parole, de construction d’un environnement sûr et sécurisant au service d’un « empowerment » de tous.
L’« empowerment » est un anglicisme difficile à traduire : empouvoirement, prise de pouvoir sur soi-même, capacitation personnelle… Si les mots semblent flous, l’objectif est néanmoins limpide : faire en sorte que chacun puisse devenir un peu plus maître de soi-même, en reconnaissant et valorisant ses compétences au service d’une meilleure estime de soi.
Pour La Solidarité a choisi de se pencher sur ce sujet à travers son projet Brux’Elles qui vise à combattre l’intériorisation des discriminations face à la recherche d’emploi chez les femmes diplômées d’origine arabe. Après avoir élaboré un outil de lutte contre ce phénomène avec ses partenaires de terrain et l’avoir testé, Pour La Solidarité vous présentera les premiers résultats du projet le 29 septembre prochain. À vos agendas !
Lire la newsletter diversité en ligne.
Si au lieu de considérer cela comme un rejet de certains, nous considérions plutôt ces moments comme des espaces privilégiés, pour des potentielles victimes de discriminations, de libération de la parole, de construction d’un environnement sûr et sécurisant au service d’un « empowerment » de tous.
L’« empowerment » est un anglicisme difficile à traduire : empouvoirement, prise de pouvoir sur soi-même, capacitation personnelle… Si les mots semblent flous, l’objectif est néanmoins limpide : faire en sorte que chacun puisse devenir un peu plus maître de soi-même, en reconnaissant et valorisant ses compétences au service d’une meilleure estime de soi.
Pour La Solidarité a choisi de se pencher sur ce sujet à travers son projet Brux’Elles qui vise à combattre l’intériorisation des discriminations face à la recherche d’emploi chez les femmes diplômées d’origine arabe. Après avoir élaboré un outil de lutte contre ce phénomène avec ses partenaires de terrain et l’avoir testé, Pour La Solidarité vous présentera les premiers résultats du projet le 29 septembre prochain. À vos agendas !
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