Un vent mauvais souffle sur ASF
Un vent mauvais souffle actuellement sur la société des Autoroutes du Sud de la France. La dégradation du climat social est une réalité, avec des origines diverses et variées. C’est d’autant plus préoccupant dans une entreprise fortement ancrée, jusqu’à maintenant, dans un dialogue social constructif qui a permis de répondre aux enjeux.
Alors, que faire face à cette situation ? Bien malin qui pourrait y répondre, mais nous sommes tous conscients qu'il faut agir avant tout sur le rythme échevelé auquel avance l'entreprise.
L'accélération constante à laquelle sont soumis tous les acteurs de l'entreprise (que ce soient les salariés, les managers ou les représentants du personnel) n'est plus acceptable.
Face à ce constat préoccupant, la CFDT a attiré ces derniers mois l'attention des dirigeants d'ASF, car personne ne peut se satisfaire d'une telle situation. Le travail « à l'arrache » doit cesser d'être un mode de management, et nous devons tous être conscients que continuer ainsi nous mènera droit dans le mur. Mais l'entreprise est-elle prête à nous entendre ?
C'est pourtant indispensable, au regard de ce constat. Mais, au-delà de la seule direction, ce sont tous les acteurs qui doivent être conscients que le mal est profond.
Cela suppose ensuite de s'attaquer aux racines du mal, en prenant le temps, tout le temps nécessaire pour ne pas se tromper dans le diagnostic. Si nous n'en sommes pas capables, c'est prendre le risque de s'installer durablement dans la défiance, avec son cortège d'inévitables radicalisation.
- Mais la distorsion entre le discours au plus haut niveau de l'entreprise, et du groupe Vinci, et les applications, ou les interprétations, qui en sont faites sur le terrain en sont une des plus significatives.
Alors, que faire face à cette situation ? Bien malin qui pourrait y répondre, mais nous sommes tous conscients qu'il faut agir avant tout sur le rythme échevelé auquel avance l'entreprise.
L'accélération constante à laquelle sont soumis tous les acteurs de l'entreprise (que ce soient les salariés, les managers ou les représentants du personnel) n'est plus acceptable.
Face à ce constat préoccupant, la CFDT a attiré ces derniers mois l'attention des dirigeants d'ASF, car personne ne peut se satisfaire d'une telle situation. Le travail « à l'arrache » doit cesser d'être un mode de management, et nous devons tous être conscients que continuer ainsi nous mènera droit dans le mur. Mais l'entreprise est-elle prête à nous entendre ?
C'est pourtant indispensable, au regard de ce constat. Mais, au-delà de la seule direction, ce sont tous les acteurs qui doivent être conscients que le mal est profond.
Cela suppose ensuite de s'attaquer aux racines du mal, en prenant le temps, tout le temps nécessaire pour ne pas se tromper dans le diagnostic. Si nous n'en sommes pas capables, c'est prendre le risque de s'installer durablement dans la défiance, avec son cortège d'inévitables radicalisation.
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