Surprise dans le dossier de cette association à laquelle adhère la SNCF, où deux déléguées syndicales CFDT et CFTC ont vu leur licenciement refusé par l'inspection du travail en juillet dernier. Le recours hiérarchique ensuite formé par leur employeur, l'Union internationale des chemins de fer (UIC), a été annulé le 2 février à cause d'un vice de forme.
L'ex-inspecteur du travail répondait le 6 juillet à Paris de délit d'entrave au comité d'établissement de l'institut Guinot. Une audience qui a permis de constater une forte mobilisation des défenseurs des contrôleurs du travail.