L'objectif de l'article est de montrer qu'au-delà des caractéristiques des individus et des entreprises, la nature volontaire des mobilités professionnelles peut être expliquée par la qualité des emplois occupés et par les aspirations professionnelles des individus.
Depuis le premier plan cancer (2003-2007), la lutte contre le cancer est un enjeu de santé publique en France.
L’étude dont rend compte ce Connaissance de l’emploi éclaire les débats récents sur le développement de l’apprentissage dans l’enseignement supérieur.
L'intéressement est un mécanisme qui permet la constitution d'une épargne salariale. Dans la littérature économique, les enjeux de ce dispositif, en termes d'incitation à l'effort, sont bien documentés : la majorité des travaux observe des effets positifs sur la productivité du travail.
Créées en 2005, les maisons de l'emploi sont confrontées à une crise de légitimité dans un contexte de baisse marquée de leurs subventions. Elles sont soumises depuis dix ans à une hésitation récurrente entre un modèle dépendant des territoires, avec toute la souplesse que cela implique, et une volonté de l'État d'utiliser ces structures dans un objectif national.
La réduction des écarts de salaires entre hommes et femmes est depuis maintenant deux décennies au point mort. Le fait que les uns et les autres se distinguent en matière de caractéristiques non cognitives constitue l'une des raisons qui pourrait expliquer qu'il en est ainsi. Ces caractéristiques non cognitives concernent les traits de personnalité ou les préférences des individus.
Après la reprise des travaux, les organisations patronales se sont à nouveau exprimées :
Depuis la fin des années 1990, l'écart entre les taux de chômage féminin et masculin s'est réduit. Il est même aujourd'hui inversé : en France métropolitaine, au deuxième trimestre 2014, le taux de chômage des femmes s'élève à 9,5 % et celui des hommes à 10 %. Parallèlement à cette évolution, le taux d'activité féminin n'a cessé de croître, se rapprochant progressivement de celui des hommes.
Ces dernières années, les banques françaises ont eu à recruter de nombreux cadres commerciaux intermédiaires et ont intensifié leurs efforts pour intégrer à des postes des jeunes issus de milieux populaires, en particulier ceux des zones urbaines sensibles.