Organisations
Pourquoi le CIRIEC s’intéresse-t-il aux partenariats publics privés non lucratifs ?
Parmi les rares organismes de recherche qui s’intéressent à l’économie non capitaliste, le CIRIEC a une triple spécificité :
Ces partenariats sont nombreux : aucun recensement n’en est dressé, ils prennent de multiples formes évoluant dans le temps et répondent souvent à des besoins vitaux non solvables ou non satisfaits par le marché. Leurs résultats sont généralement appréciés par ceux qui en bénéficient.
Pourtant des tensions s’y manifestent. Des conflits d’intérêt y sont présents. Des liens de dépendance se créent. Inévitable et sans doute nécessaire, la concurrence n’y est pas toujours loyale quand elle ne nuit pas à la qualité du service rendu, donc aux bénéficiaires. Le risque de dumping social est réel, souvent dénoncé à juste titre par les syndicats.
Les études qui s’efforcent de les analyser sont parcellaires ; elles sont réalisées de manière ponctuelle et ne rendent pas compte des évolutions en cours qui s’accélèrent, en particulier au niveau local où ces partenariats sont les plus nombreux : diminution des ressources des collectivités territoriales (donc des aides publiques), raréfaction des services publics (notamment en milieu rural), concurrence de nouvelles formes d’entreprises qui se veulent (ou au moins se disent) à la fois sociales et lucratives...
Cela provoque un débat qui gagnerait en clarté s’il reposait sur des données objectives et sans cesse actualisées. Ce devrait être le rôle d’un observatoire des partenariats public-privé non lucratifs qui reste à créer.
En attendant, nous nous efforcerons, mois après mois, de présenter des exemples de partenariats, petits et grands, qui témoignent de l’attachement de leurs promoteurs à l’intérêt général.
- il est le seul à étudier les deux formes d’économie qui servent l’intérêt collectif : l’économie publique (incluant les services publics) et l’économie sociale et solidaire ;
- lieu de rencontre entre chercheurs et praticiens, ses travaux ne sont pas de simples exercices de l’esprit : ils trouvent naturellement leur utilité dans la vie concrète des entreprises et des organisations ;
- ses recherches, menées dans le cadre de ses sections nationales, se situent à l’échelle des problèmes d’aujourd’hui : elles sont internationales.
Ces partenariats sont nombreux : aucun recensement n’en est dressé, ils prennent de multiples formes évoluant dans le temps et répondent souvent à des besoins vitaux non solvables ou non satisfaits par le marché. Leurs résultats sont généralement appréciés par ceux qui en bénéficient.
Pourtant des tensions s’y manifestent. Des conflits d’intérêt y sont présents. Des liens de dépendance se créent. Inévitable et sans doute nécessaire, la concurrence n’y est pas toujours loyale quand elle ne nuit pas à la qualité du service rendu, donc aux bénéficiaires. Le risque de dumping social est réel, souvent dénoncé à juste titre par les syndicats.
Les études qui s’efforcent de les analyser sont parcellaires ; elles sont réalisées de manière ponctuelle et ne rendent pas compte des évolutions en cours qui s’accélèrent, en particulier au niveau local où ces partenariats sont les plus nombreux : diminution des ressources des collectivités territoriales (donc des aides publiques), raréfaction des services publics (notamment en milieu rural), concurrence de nouvelles formes d’entreprises qui se veulent (ou au moins se disent) à la fois sociales et lucratives...
Cela provoque un débat qui gagnerait en clarté s’il reposait sur des données objectives et sans cesse actualisées. Ce devrait être le rôle d’un observatoire des partenariats public-privé non lucratifs qui reste à créer.
En attendant, nous nous efforcerons, mois après mois, de présenter des exemples de partenariats, petits et grands, qui témoignent de l’attachement de leurs promoteurs à l’intérêt général.
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